Un joyau caché, témoin d’un long passé
Le nom d’Azay provient d’un notable romain, dénommé Asius, qui grava son nom sur la localité, après la conquête de la gaule celtique. Au IVe siècle, Azay est témoin et victime de la terreur des Vikings, et fut anéanti par « la sape et le feu », ce qui a probablement ajouté le terme « brulé » à Azay. Vers l’an 1000, Azay-le-Brûlé se relève de ses cendres et fait preuve de sa résilience avec la construction d’une église rattachée au vicariat d’Aiffres. Au fil du temps, on l’agrandit avec de nombreux bâtiments, dont un charmant cloître, qui existe encore de nos jours (le Prieuré Saint-Barthélémy).