Profiter d’une nature omniprésente
Site classé Espace Naturel Sensible
Un lieu de dépaysement total
Un parcours Tèrra Aventura très apprécié
Il est facile de se stationner
Les enfants adorent y aller
Le site du Puits d’Enfer est l’un des plus anciens sites classés des Deux-Sèvres. Reconnu pour ses qualités paysagères et environnementales mais aussi pour son caractère pittoresque et légendaire.
On y observe une flore remarquable dans les boisements des affleurements rocheux. On y trouve diverses essences d’arbres (chêne, frêne, érable, charme…) dont un chêne trogne remarquable par sa taille et sa silhouette. Le site reconnu en ZNIEFF abrite des espèces végétales à préserver, telles que la Laîche appauvrie (Carex depauperata) dans les boisements de pente, la Doradille de Billot (Asplenium obovatum billotii) et la Doradille du nord (Asplenium septentrionale) dans les parois rocheuses, ainsi que le Scléranthe vivace (Scleranthus perennis) et le Trèfle raide (Trifolium strictum) sur les affleurements rocheux.
Entre le bruissement de feuilles, le chant des oiseaux ou le clapotis du ruisseau vous vous baladerez dans une ambiance apaisante. Prenez le temps de vous ressourcer près de la cascade en vous accordant une pause.
Dans un décor apaisant vous pourrez vous reposer, car les sentiers escarpés du Puits d’Enfer ne sont pas de tout repos pour atteindre la cascade !
Pour les plus téméraires, vous pouvez partir à l’aventure avec le Tèrra Aventura “Dans le tourbillon du diable”.
Sur le thème des contes et légendes, vous partirez à la recherche de Zellé pour découvrir les légendes du Puits d’Enfer.
Un brave paysan d’Exireuil possédant des prairies à Nanteuil vint, un dimanche matin, jeter un coup d’œil, juste avant la messe, sur le champ qu’il avait fauché la veille. L’herbe était belle et bien sèche ; elle serait d’un bon profit pour ses bêtes et pour la vente. Mais voici qu’à l’horizon paraît un petit nuage noir présageant l’orage.
C’était le dimanche, le jour du Seigneur. Allait-il perdre toute la récompense de son travail ? Non, c’était impossible ! Alors, le voici revenant en hâte à l’écurie et attelant ses bœufs. Or, à cette époque, pour aller de sa ferme à son pâturage, il fallait traverser le ruisseau du Puits d’Enfer, au-dessus de la chute et les eaux étaient encore grandes. Le voyage aller se passa fort bien ; le chargement aussi. Au retour, le soleil qui avait disparu n’ayant pu sécher toutes les gouttes d’eau sur les rochers, l’un des bœufs glissa, entraînant l’autre animal, la charrette, la récolte et le brave paysan. Le tout tomba dans le « Puits d’Enfer » et personne ne les revit jamais.
Sentiers escarpés.
Aire de pique-nique.
Les animaux sont acceptés tenus en laisse.